31 octobre 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Laurent Flieder, « Chansons, poèmes, poésies : le « comme si » et le « pas tout à fait » », Presses universitaires de Caen, ID : 10.4000/books.puc.10105
À la question : « Gardez-vous le meilleur de vous-même pour l’écriture ? », Philippe Soupault répond : « Non ! C’est pour l’amour. J’ai beaucoup aimé aimer… » Nous voilà prévenus : le Soupault dont nous parlons ici, l’écrivain, n’est pas le meilleur, n’est que l’ombre de l’autre, celui pour qui la littérature n’est pas une priorité. Et c’est cela qui me le rend attachant avant tout, cette volonté sans cesse réitérée de ne pas s’y croire, de ne pas jouer à l’homme de lettres, de ne pas édifier...