30 mars 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Françoise Bonali-Fiquet, « La romancière et sa traductrice : La correspondance de Marguerite Yourcenar avec Lidia Storoni Mazzolani », Presses universitaires de Caen, ID : 10.4000/books.puc.10234
Ô frères, dis-je, qui, à travers mille périls,Êtes arrivés à l’Occident,[…]Souvenez-vous de votre race :Vous n’êtes pas faits pour vivre comme des brutes,Mais pour acquérir la vertu et la connaissance. Marguerite Yourcenar avait le culte de l’amitié et pendant toute sa vie, en particulier après son installation aux États-Unis en 1939, elle entretint une correspondance avec de nombreuses personnes : ses amis, ses éditeurs, ses traducteurs, des écrivains ou encore avec des lecteurs qui s’adress...