An béal bocht (the poor mouth) de myles na gcopaleen : l’art corrosif et jubilatoire de la « seconde main »

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20 décembre 2012

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Danielle Jacquin, « An béal bocht (the poor mouth) de myles na gcopaleen : l’art corrosif et jubilatoire de la « seconde main » », Presses universitaires de Caen, ID : 10.4000/books.puc.740


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An Béal Bocht, satire anti-pastorale, est une œuvre insolite qui provoqua en son temps enthousiasme et dénigrement, rires et grincements de dents, souvent présentée hâtivement comme la parodie des autobiographies gaéliques, et plus précisément de An tOileánach (The Islandman) de Tomás Ó Criomhthain. Myles na gCopaleen est au plus haut de sa forme quand l’ouvrage paraît en 1941. Sa chronique Cruiskeen Lawn, qui fera de lui une figure dublinoise célèbre en apportant une verve dérangeante dans l...

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