1 juin 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Claire Poutiers, « Shakespeare et Welles : la part de l’ombre (illusions, allusions et ombres : quel accès, et à quoi ?) », Presses universitaires François-Rabelais, ID : 10.4000/books.pufr.4895
Lorsque Welles entame ce qui sera appelé sa « trilogie shakespearienne » en 1948 avec la sortie de Macbeth, il n’est pas le premier à vouloir porter l’œuvre de Shakespeare à l’écran. En effet, si l’on regarde à quel point le cinéma depuis ses débuts s’est attaché à filmer Shakespeare, tout ou partie, on comprend la difficulté de la tâche entreprise par Welles, qui doit à la fois s’imposer comme véritable cinéaste shakespearien (par rapport à son grand rival sur ce point, Laurence Olivier) et ...