Conclusion

Résumé 0

Quand en 1559, dans la dédicace de son Livre d’architecture, Jacques Androuet du Cerceau écrit à Henri II que son « florissant royaume » s’augmente « de jour en jour de tant beaux et somptueux édifices », il ne s’agit pas d’une exagération de courtisan, comme en témoignent le nombre et la qualité des demeures nobles qui ont fleuri à cette époque dans les campagnes françaises. Toutefois, notre voyage à travers la Haute-Normandie du XVIe siècle a révélé que la réalité, parfois proche de cette v...

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