17 octobre 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Déborah Roussel, « Ars precatoria, ars precaria dans la dernière lettre d’Ovide à Fabia (Pontiques, III, 1) », Presses universitaires François-Rabelais, ID : 10.4000/books.pufr.9723
La situation d’Ovide, relégué sur décision de l’empereur Auguste aux confins de l’Empire romain, sur les bords de la mer Noire, peut sembler peu propice à la rédaction de lettres de conseil ou de direction. Et de fait, la plupart des lettres que l’on trouve dans les Tristes et les Pontiques sont plutôt des lettres de demandes ou de plaintes, appartenant, si l’on reprend les catégories du traité épistolaire du Pseudo-Libanios, au type de l’ἐρωτηματική ou de la σχετλιαστική. Quelques lettres, t...