19 novembre 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Georges-Arthur Goldschmidt, « Autofiction et inavouable », Presses universitaires de Lyon, ID : 10.4000/books.pul.3597
À la fin du Taugenichts – Le propre à rien –, de Joseph von Eichendorff (1826), l’un des rares « romantiques » heureux de la littérature allemande, on peut voir le vaurien revenir d’Italie tout autrement que Rousseau : « Entre les deux fenêtres, écrit Eichendorff, pendait un gigantesque miroir qui allait du sol au plafond. Je dois dire que cela me plut bien. Je me redressai deux trois fois et allais et venais à grands pas avec noblesse de par la pièce. Puis, tout de même, je ne pus davantage ...