Fiche du document
9 août 2021
- doi: 10.4000/books.pul.5849
- isbn: 9782729708559
- eisbn: 9782729711221
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Mots-clés
mémoire littérature Lumières genre épistolaire autobiographie Philosophy Literature, Romance LIT004150 DSBSujets proches
Legends and stories Novels Stories Legends and stories Novels Stories Legends and stories Novels Stories Legends and stories Novels Stories Fortunes Riches Affluence Distribution of wealth Eyesight Seeing Sight Narrative (Rhetoric) Narrative writing Human males Retention (Psychology) World literature Western literature (Western countries) Belles-lettres Correspondence Fright Auricular confession Synchronicity Simultaneousness Synchronism Coincidencia Sincronismo Visión Casualidad Temor Confesión auricular Autobiographie Perception visuelle Oubli Malignité Malice Malveillance Mauvaiseté Opulence Patrimoine économique national Fortune Biens temporels Aisance Richesse nationale Abondance Répartition des richesses Richesses Grandes fortunes Patrimoine national Fortunes Avoir Écrits autobiographiques Littérature autobiographique Récits autobiographiques Autobiographies Coïncidence Crainte Frayeur Confessions individuelles Confession à Dieu Confession des enfants Confessions Confession générale Confession des péchés Confession auriculaire Confession fréquente Aveu des péchés Confession aux laïcs Confessions collectives Épîtres Correspondance littéraire Lettres fictives Genre épistolaire Art épistolaire Lettres (genre littéraire) Correspondance fictive Vue Genre romanesque Fiction (littérature) Littérature romanesque Récits Romans Oeuvres littéraires Littérature universelle Belles-lettres Narratologie Récit Narrativité Techniques narratives Narrateur Nouvelles (littérature) Récits mémoire oubli/mémoireCiter ce document
Denis Reynaud, « Comme par hasard », Presses universitaires de Lyon, ID : 10.4000/books.pul.5849
Métriques
Partage / Export
Résumé
On sait que Les Confessions sont placées sous le signe de la transparence : Il faut […] que [le lecteur] ne me perde pas de vue un seul instant, de peur que, trouvant dans mon récit la moindre lacune, le moindre vide, et se demandant, qu’a-t-il fait durant ce temps-là, il ne m’accuse de n’avoir point voulu tout dire. Je donne assez de prise à la malignité des hommes par mes récits, sans lui en donner par mon silence. Mais ce programme s’applique-t-il au reste de l’œuvre de Rousseau ? Dans Émi...