Philippe Lucas : entre la réflexion et la pratique

Résumé 0

En 1982, je disais à Philippe : « J’ai compris ce qu’est un fantôme : lorsqu’on a perdu quelqu’un de cher, le sentiment doulourweux de la présence de l’absence oblige l’esprit à reconstituer le plus fidèlement possible cette présence ». Aujourd’hui, je vais fabriquer un fantôme, le mettre à mes cotés et lui prêter ma voix. Je voudrais auparavant rappeler la pudeur de Philippe quant à sa vie intime, c’est pourquoi je n’en parlerai pas. Mais je veux souligner qu’elle était sa gentillesse pour s...

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