« Il me prend des envies de ne plus retourner à Paris » : fortunes et infortunes dans les maisons d’écrivains

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23 octobre 2017

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Marie-Ève Riel, « « Il me prend des envies de ne plus retourner à Paris » : fortunes et infortunes dans les maisons d’écrivains », Presses universitaires de Liège, ID : 10.4000/books.pulg.2344


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Bien que les premières maisons d’écrivains apparaissent en Europe au XVIIIe siècle sous le coup notamment d’une forme de pression populaire (des visiteurs se rendent par exemple aux Charmettes dès les lendemains de la mort de Rousseau en 1778) et que cet engouement croisse tout au long du XIXe siècle (on sait que des pèlerins se pressent à Hauteville House pour découvrir le lieu d’exil de Victor Hugo dès 1859), les maisons d’écrivains à ouvrir leur porte officiellement, en France, le font au ...

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