3 septembre 2019
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Pierre Duroisin, « Chapitre IV. Le mépris et l’apparence », Presses universitaires de Liège, ID : 10.4000/books.pulg.2909
Constater que presque tout est vain, conduit à cultiver les vertus de mépris. Ses lectures stoïciennes, renforcées par la lecture de Pascal, ont mis le jeune Montherlant au pied de la question : « Que sont les biens, et d’abord les biens matériels les plus immédiats : argent, maisons, meubles, objets précieux ? » Ici aussi on se trouve devant un poncif de la littérature ancienne et du sermon catholique. On fera pourtant la nuance entre la pauvreté et « l’esprit de pauvreté», et on la fera ave...