22 mai 2013
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Louis Remacle, « Additions », Presses universitaires de Liège, ID : 10.4000/books.pulg.372
P. 8. Intr., n. 2. – Je n’ai pas retenu non plus la persistance du -t final après voyelle qui se serait prolongée particulièrement tard en wallon : v. Valk., p. 42, n° 8 (avec des références à une dizaine d’auteurs) ; Pope, p. 489, n° xv. Il ne s’agit presque certainement que d’un phénomène graphique propre aux anciens textes de Wallonie. On peut sans doute généraliser ce qu’écrivait G. Doutrepont à propos de J. de Hemricourt (n° 92, p. 61) : « Le t final ne peut être qu’une manière d’écrire ...