Liberation and the Land: The Environmental Ethos of Gerald Vizenor

Résumé En Fr

Although he seems to take issue with the ostensible Indian worship of Mother Earth, Gerald Vizenor makes a point about non-Indians having lost a sense of an inherent American Indian connection with the land that he feels to be of critical importance. For an embodiment of this sense of the land, he chooses the salamander: “The salamander and the natural mediation of amphibians, for instance, could be an unpretentious signature of the earth, the trace between land, water, and our stories” (“Tragic” 194). Despite his challenging, postmodern narratives and elusive characters and at the same time that he disallows any simplistic, reductive, or stereotypical readings of American Indian cultures or beliefs, Vizenor does forcefully argue for an American Indian land ethic.

Malgré sa critique du fameux culte indien de le « Terre Mère », Gerald Vizenor lui-même reproche au non Indien d’avoir perdu un lien avec la terre, typiquement indien et d’une valeur irremplaçable. Pour incarner ce sens de la nature, Vizenor a choisi la salamandre : « La salamandre et la médiation des amphibiens par exemple, pourrait bien constituer une modeste signature de la terre, trace entre la terre, l’eau et nos histoires. » (« Tragic » 194) Ainsi, en dépit de ses récits d’un postmodernisme provocant et de ses personnages insaisissables, et malgré son désaveu de toute lecture simplificatrice, réductrice et convenue des cultures et des croyances amérindiennes, Vizenor propose malgré tout avec force une éthique indienne de la terre.