41. Propositions pour la réforme de l’éducation québécoise

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12 juillet 2018

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Gérard Filion, « 41. Propositions pour la réforme de l’éducation québécoise », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.13433


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Né en 1909, Gérard Filion a été secrétaire de l’Union catholique des cultivateurs (1935-1947) avant d’assumer en 1947 la direction du Devoir, qu’il conservera jusqu’en 1963. Par la suite, il fera carrière comme dirigeant d’entreprises à vocation économique. Tout au long de ses années à la direction du Devoir, Filion, avec Laurendeau, surveille d’abord étroitement le gouvernement de Duplessis puis en devient l’un de ses plus durs critiques, y compris pour la politique (ou l’absence de politique) d’éducation de ce gouvernement. Au début de 1960, Filion publie un livre intitulé Les confidences d’un commissaire d’école où il reprend un certain nombre de textes déjà publiés, en ajoute de nouveaux et, surtout, éclaire le tout de son expérience personnelle comme commissaire. Avec un ton et un vocabulaire très simples, et nombre d’exemples puisés dans son expérience, il se livre à une critique méthodique du système d’éducation et définit un certain nombre de réformes majeures qui ne peuvent plus attendre. Il est donc particulièrement bien préparé à agir, à compter de 1961, comme vice-président de la commission Parent, poste dans lequel il s’efforcera de promouvoir ses idées de réforme. Comme le Frère Untel, Filion s’emploie à éclairer l’opinion publique et à la préparer aux grands changements qui se préparent.

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