Contestation et mondialisation

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6 juillet 2018

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David R. Cameron et al., « Contestation et mondialisation », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.14996


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À l’aube du troisième millénaire, deux phénomènes marquants sont à l’ordre du jour : la mondialisation des communications et la redéfinition de l’État. Mais, en même temps, on assiste à un mouvement de contestation qui gagne tous les secteurs de la société et s’interroge sur la concentration des pouvoirs. C’est à l’analyse de ces mouvements, apparemment contradictoires, que s’attaquent les auteurs de cet ouvrage. Pour eux, la culture et les communications sont le lieu privilégié de la démocratie et de la remise en cause des institutions, telles qu’elles sont apparues à travers les mouvements migratoires, la transformation du divertissement, la redéfinition de la citoyenneté, les accords internationaux. Dans ce contexte, l’État joue un rôle nouveau, aux dépens des anciennes conceptions de l’autorité. Du reste, le Canada lui-même est mis sur la sellette dans sa façon d’aborder les problèmes de la citoyenneté et dans ses tentatives pour résoudre les conflits qui l’agitent. De nouvelles façons d’envisager la participation des citoyens se manifestent un peu partout dans le monde, grâce notamment à l’usage de nouvelles technologies, telles que l’Internet ou les télécommunications. C’est dans la mesure où les institutions transnationales et nationales seront à l’écoute de ces changements qu’un nouveau civisme pourra voir le jour. Ce livre s’adresse aussi bien au grand public qu’aux sociologues ou aux politiciens. Il met en évidence la responsabilité accrue des citoyens pour une plus grande prise de conscience des phénomènes qui marquent la société mondiale. « Alors que, d’habitude, nous ne voyons la mondialisation qu’à travers le prisme de la finance, de la démocratisation et de la sécurité, cet ouvrage décisif nous ramène à la culture et à la société. Nous sommes entraînés dans une perspective tout à fait neuve qui renverse l’ordre habituel des choses : c’est la société et la culture qui constituent le point névralgique de l’activité humaine, pas l’économie. » Ann Medina, Académie canadienne du cinéma et de la télévision

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