7 novembre 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Jeanne Roland, « Conclusion », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.2219
À quelles conditions occuper sur la nature le point de vue du sujet pensant, sans imposer au réel le partage si naturel entre des phénomènes psychiques ou mentaux et des phénomènes physiques ? La pensée dualiste, si naturelle en apparence, paraît informer toutes nos représentations. Même si l’on décide de congédier la distinction réelles des substances, pour ne retenir qu’un dualisme des propriétés ou des états, en reléguant la notion métaphysique de substance à une période pour ainsi dire dé...