Profession juriste

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8 août 2018

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Marie-Claude Rigaud et al., « Profession juriste », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.3283


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Un vieil adage, souvent repris, veut que « le droit mène à tout ». Si l’on peut déceler dans cette affirmation une certaine part d’exagération — après tout, le droit et la biologie moléculaire demeurent des disciplines bien distinctes —, une formation en droit ouvre en effet de nombreux horizons de carrière, en plus de contribuer à l’épanouissement intellectuel des personnes qui y ont accès. En outre, cette formation a parfois des effets secondaires, en façonnant la personnalité de celles et de ceux qui la suivent. Beaucoup de familles ou d’amis ont ainsi été surpris de constater les transformations, souvent pour le meilleur mais parfois pour le pire, que subissent les personnes qui étudient en droit : le scepticisme s’accroît, les exigences quant à la qualité des raisons données pour justifier telle ou telle action deviennent plus strictes, l’art de l’argumentation s’affine ; dans le pire scénario, l’égo enfle. Mais le propos de ce petit ouvrage n’est pas, tant s’en faut, de faire la psychanalyse de l’apprenti juriste ; il s’agit plutôt de se pencher sur ce que signifie, aujourd’hui, être juriste. Cela oblige à aborder la question de la formation de celles et de ceux qui aspirent à le devenir.

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