23 janvier 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Richard Patry, « Chapitre 5. « Loutiquenne » et les « (de) Quéclin » dans l’œuvre de Jacques Ferron », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.7129
Or les gens qui ont un train à prendre sont idiots ; les dieux ne leur parlent pas.Ceux qui se laissent mûrir comme une baie, ceux qui se laissent vivre me plaisent.Laisse courir ta plume... La prose narrative de Jacques Ferron séduit presque tout autant par ce qu’elle raconte que par la manière qu’elle a de raconter ; intrigue et mise en forme langagière y sont les deux indispensables hémisphères qui concourent à « l’intelligence » du récit. Que serait, par exemple, le conte « Servitude », h...