22 mars 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Judith Lavoie, « Chapitre 4. Pour la création d’une parole noire en français », Presses de l’Université de Montréal, ID : 10.4000/books.pum.9465
Sauf Nétillard, qui n’a que parcimonieusement ponctué son texte à consonance créolisante, les traducteurs fran d’expressionsçais de Huckleberry Finn (W. L. Hughes, 1886 ; R. et Y. Surleau, 1950 ; A. Bay, 1961 ; L. Molitor, 1963 ; J. La Gravière, 1979 ; C. Laury, 1979) n’ont pour ainsi dire pas recouru aux possibilités langagières offertes par le français créolisé pour traduire le Black English. Or la langue française ne souffre d’aucune lacune pour rendre, comme Twain et d’autres écrivains am...