14 mai 2014
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Jean-Claude Aubailly, « Du narré au joué : le motif du faux confesseur », Presses universitaires de Provence, ID : 10.4000/books.pup.3691
Dans le tableau qui clôt ses Études sur l'ancienne farce française, H. Lewicka recense 171 pièces qu'elle considère comme des farces. Même si ce total est, selon nous, à réduire d'une vingtaine de pièces, dialogues techniques sans action (Gautier et Martin, Mallepaye et Bai1levent ...) ou pièces dont on peut valablement discuter l'appartenance au genre de la farce (Les Malcontentes, L'Ordre de mariage et de prêtrise, Le Fauconnier de ville...), il n'en reste pas moins que le corpus actuelleme...