Trois musées de cire au feu du cinéma. Masques de cire (M. Curtiz, 1933), L’Homme au masque de cire (A. de Toth, 1953), La Maison de cire (J. Collet-Serra, 2005)

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20 mai 2022

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Ivan Herard, « Trois musées de cire au feu du cinéma. Masques de cire (M. Curtiz, 1933), L’Homme au masque de cire (A. de Toth, 1953), La Maison de cire (J. Collet-Serra, 2005) », Presses universitaires de Paris Ouest, ID : 10.4000/books.pupo.21787


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Bien avant que le cinéma ne s’expose dans les musées, la puissance de la fiction a doté certains films ou certaines séquences du coefficient auratique dont Walter Benjamin a diagnostiqué et analysé la crise et le déclin : Alfred Hitchcock en a peut-être fourni l’exemple le plus fameux dans une séquence de Sueurs froides (Vertigo, 1958), lorsqu’il filma le face-à-face mystérieux et fictif, dans un musée bien réel de San Francisco, entre le personnage de Madeleine/Judy et le portrait peint de C...

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