L’hiver d’un singe

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18 décembre 2014

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Dominique Goy-Blanquet, « L’hiver d’un singe », Presses universitaires de Paris Ouest, ID : 10.4000/books.pupo.2265


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Le Conte d’hiver partage avec les pièces de la fin, notamment Henry VIII, divers traits qui les éclairent mutuellement. Chacune innove à sa manière, explore les thèmes d’œuvres antérieures et renouvelle radicalement les formes théâtrales, mettant à rude épreuve le suspens de l’incrédulité. Prises ensemble, elles posent la question de la vérité en art. Le pouvoir de l’artiste comme de l’auteur/metteur en scène y apparaît de même nature que le pouvoir politique, une usurpation que l’artiste responsable se doit de mettre en lumière. Plus particulièrement dans le Conte, le prix de l’œuvre d’art se mesure très humblement à la valeur de la vie humaine.

The Winter’s Tale shares with the late plays, especially Henry VIII, a number of features that helps to elucidate them. Each represents a new experiment, revisits earlier themes, and radically alters existing forms, while submitting to a heavy stress the suspension of disbelief. Taken together, they raise the question of truth in art. The power of the artist, as that of the author/director’s, is represented as similar to political power, a usurpation that the responsible artist feels in duty bound to expose. In The Winter’s Tale especially, the price of a work of art measures itself with humility against the value of human life.

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