9 juillet 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Laurence Schifano, « Les fantômes d’Apichatpong Weerasethakul : un nouvel horizon cinématographique de la modernité », Presses universitaires de Paris Ouest, ID : 10.4000/books.pupo.2495
« il y a des fantomes plein l’ecran », déclare Philippe Sollers après sa première vision des Histoire (s) du cinéma de Jean-Luc Godard, de ce film somme, tombeau, apocalypse, dont Francis Vanoye en 2004 relevait le caractère mortuaire en s’interrogeant sur le postulat godardien de l’effacement, au tournant du siècle, de « la capacité subversive du cinéma [.] devant la puissance du contrôle des images », de l’effacement, donc, du moderne. « Le temps d’Alphaville est arrivé », résumait Francis ...