12 mars 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Anne Chamayou, « Si le potin m’était conté… : l’affaire Wilkes dans la correspondance de Diderot », Presses universitaires de Perpignan, ID : 10.4000/books.pupvd.30952
« Il ne me manque pas un mot de toute leur affaire. Elle est plaisante ; et si vous n’étiez pas plus pressés de vous coucher que moi, je vous la raconterais tout comme leur domestique l’a dite à ma servante, qui s’est trouvée par hasard être sa payse, qui l’a redite à mon mari, qui me l’a redite »,Jacques le Fataliste et son maître, éd. GF, p129. Si le potin n’existait pas, Diderot l’aurait inventé. Sans parler de ses talents de causeur dans lesquels les potins entraient pour quelque chose, s...