Rythmes, musiques et danses dans les vers 209 à 220 des Grenouilles d’Aristophane

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19 septembre 2019

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Marie-Hélène Delavaud-Roux, « Rythmes, musiques et danses dans les vers 209 à 220 des Grenouilles d’Aristophane », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.119463


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Reconstitution chorégraphique du début de la parodos du chœur des grenouilles, en utilisant les travaux de Cécile Corbel-Morana dans sa thèse de doctorat sur Le bestiaire d’Aristophane (par exemple l’idée que les grenouilles se prennent pour des cygnes), l’enregistrement du texte réalisé par Philippe Brunet (nous avons appris ainsi à bien dire le texte) mais en faisant aussi appel à des hypothèses personnelles : le chœur des grenouilles est à la fois chargé du chant et de la danse, tout en portant un masque en plâtre (réalisé par nos soins) même si la danse ainsi conçue est particulièrement essoufflante ; la chorégraphie utilise la métrique du texte pour la traduire en deux rythmes (2/4 et 6/8) ; elle prend ses distances avec les reconstitutions de Germaine Prudhommeau, trop inspirées par la danse classique et utilise en partie la gestuelle propre au kômos puisque les grenouilles disent aux vers 215-218 chanter un kômos en l’honneur de Dionysos Nyséien.

We reconstruct the beginning of the parodos of froggs, with Cécile Corbel-Morana’s works (Le bestiaire d’Aristophane), Philippe Brunet’s record (we used it to learn how say the text) but with original hypotheses: the choir sings and dances at the same time, with a plaster mask (we made it) even if we run out of breath when we dance; the choreography uses the metric of the text and translate it in two rhythms (2/4 and 6/8); It is different than Germaine Prudhommeau’s reconstruction, too much inspired by ballet, and it uses sometimes the kômos gestures because the froggs say in 215-218 that they sing a kômos for Dionysos Nyseios.

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