2 février 2016
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Alain Néry, « Sacré, sacrilège, sacrifice dans Le Flagellant de Séville de Paul Morand », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.13997
La notion de sacré est sans doute cruciale dans l’œuvre de Paul Morand, soit qu’y soit concerné ce qui est normalement sacré, « consacré à un emploi spirituel » (Littré), en liaison avec le culte et la religion, soit qu’on l’étende à ce qui fait l’objet d’une vénération particulière : c’est, chez Morand, le cas de la race, en référence à un critère de pureté. De même le domaine spirituel embrasse chez lui toutes les religions, révélées ou païennes, et les objets signalés comme sacrés appartie...