9 juillet 2015
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Jean-Yves Boulic et al., « Chapitre 8. « On fait la guerre aux poltrons » », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.17580
Si les hommes politiques de l'époque goûtent le dilettantisme, tel n'est pas le cas d'Henri de Kerillis. Le mouvement est son état naturel et l'action sa drogue. Ses déplacements l'éloignent souvent de son travail et de sa famille. Quand il est à Paris, ses journées se découpent à peu près de la même manière : petit déjeuner chez lui, Villa Madrid à Neuilly, avec ses enfants « Kate » et Alain ; lecture des journaux que lui a apportés sa secrétaire, Gabrielle de Larosière (engagée dès 1927) ; ...