L’impérieuse nécessité du superflu à Bath au xviiie siècle

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18 juillet 2016

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Annick Cossic, « L’impérieuse nécessité du superflu à Bath au xviiie siècle », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.29727


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Dans son poème « L’Invitation au Voyage », Baudelaire écrivit en 1857 : « Là, tout n’est qu’ordre et beauté,/luxe, calme et volupté. » Cette description d’un éden en partie exotique illustre, si l’on fait abstraction du « calme, » certaines des motivations secrètes ou avouées des visiteurs qui séjournèrent à Bath tout au long du dix-huitième siècle. Cette ville de marché dont les sources chaudes étaient connues depuis l’époque de la colonisation romaine se métamorphosa, en grande partie grâce...

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