19 juillet 2016
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Hugues Lebailly, « The powerful and the sweet : dialectique du masculin et du féminin dans la critique d’art victorienne », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.36013
Dans ses mémoires, E. F Benson réduit l’essentiel des jugements portés sur les œuvres d’art contemporaines par le grand public comme par la plupart des critiques victoriens à une alternative très simple : « “Very par’ful” was a common term of praise for […] masterpieces, and the rest were “perfectly sweet”. » Est-il besoin de préciser que la quasi-totalité des toiles entrant dans la première catégorie émanaient de pinceaux masculins, tandis que le second terme revenait plus souvent qu’à son t...