Maria Van Rysselberghe, Les Cahiers de la Petite Dame. « Une inlassable curiosité du visage humain »

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19 septembre 2016

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Le 11 Novembre 1918, alors que la France est en liesse, que les festivités se multiplient, que les bals populaires fleurissent spontanément un peu partout, Maria Yan Rysselberghe s’installe à sa table de travail au Lavandou, dans la résidence de son mari le peintre Théo Van Rysselberghe, et rédige la première de ses « Notes pour l’histoire authentique d’André Gide ». Cet apparent détachement n’est en rien une manifestation de mépris pour l’enthousiasme populaire tel que peut l’exprimer un Léa...

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