11 juillet 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Laurence Charlier Zeineddine, « Chapitre VI. Le contrôle de soi, l’« anti-pensée » », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.41744
Dans la mesure où penser à une entité saqra est conçu comme une interpellation, il est préconisé de ne pas y penser. Par ailleurs, les pensées nostalgiques sont aussi à l’origine des actes de prédation de Nina k’araq. L’idéal est donc d’éviter « les pensées qui tombent », celles que l’individu ne contrôle pas et qui le conduisent à se couper de son environnement physique et social : « Il ne faut pas penser. Tu dois marcher normalement, tranquillement. » L’« anti-pensée » apparaît alors comme ...