20 juin 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Ariela Epstein, « Conclusion », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.42979
« On peut métaphoriquement affirmer que le texte caché fait continuellement pression sur la limite de ce qui est autorisé sur scène, comme une masse d’eau peut faire pression contre un barrage. Le niveau de pression varie selon le degré de colère partagée et l’indignation ressentie par les dominés. Derrière cette pression se trouve le désir de donner libre cours à l’expression des sentiments exprimés dans le texte caché directement à la face du dominant. Sauf en cas de rupture avérée, le proc...