16 avril 2019
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Michel Termolle, « Des lettres pleines d’excuses et d’échappatoires pour ne pas « planter le piquet » », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.52749
À l’âge de 19 ans, « le cœur plein d’amertume », le jeune Jean-Jacques, écrivait à son père : « J’estime mieux une obscure liberté qu’un esclavage brillant. » La volonté d’indépendance et le souci de ne pas vouloir dépendre des autres, de ne pas se loger où les autres se proposent de le loger, de lui trouver un « casement » à leur mode et non à la sienne, il les maintiendra toute sa vie. En 1766, à Mme de Boufflers, à propos de logements qui lui étaient proposés, il écrivait : « Quoi qu’on pu...