16 avril 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Marco Menin, « Le paradoxe de la vertu : Rousseau et Carondelet », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.52763
Quand il devait parler de lui-même, Jean-Jacques Rousseau aimait à se définir, non seulement comme « citoyen de Genève », mais aussi comme « ami de la vertu ». Une telle appellation semble justifiée soit par la constatation empirique que les expressions ayant trait à l’action vertueuse (vertu, vertueux, etc.) se représentent avec une fréquence importante sous sa plume, soit par le fait que celles-ci peuvent se retrouver dans des contextes les plus divers : des écrits autobiographiques aux tra...