L’Europe des signes : les Grecs, figure de la dissidence au temps de la Pléiade et d’Étienne Pasquier

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26 avril 2019

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Edith Karagiannis-Mazeaud, « L’Europe des signes : les Grecs, figure de la dissidence au temps de la Pléiade et d’Étienne Pasquier », Presses universitaires de Rennes, ID : 10.4000/books.pur.53692


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L’Europe humaniste choisit dans la mythologie et l’histoire des Grecs des allégories et symboles pour figurer les dissidences du XVIe siècle liées notamment à la Réforme : le bonnet d’Ulysse, signe de liberté, les compagnons chez Circé et les Lotophages, les Géants finalement soumis, l’Hydre et, enfin, le motif des Grecs eux-mêmes, considérés comme l’exemple du juste châtiment frappant ceux qui se coupent de l’Église, apparaissent ainsi, à partir de 1547, sur des médailles de Charles-Quint, des rois de France et sous la plume de la Pléiade et de Pasquier.

In the 16th century, humanist Europe appeals to Greek history and mythology to communicate ideas and intentions regarding religious and political dissidence. Ulysses’cap, Ulysses’comrades on Circe’s island, the Lotophags, the Gigantomachy, the Lernaia Hydra and, last but not least, the fate of the Greeks themselves are all used in literature and arts, especially numismatic, for purposes related to current political and religious affairs as the struggle against Reformation.

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