Du Guaicuí au Verde-Alecrim : la langue des oiseaux

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Toi qui me lis, es-tu sûr de comprendre mon langage ?J. L. Borges, La Bibliothèque de Babel Au centre de l’œuvre de João Guimarães Rosa, Grande sertão : veredas traduit en français sous le titre de Diadorim, porte apparemment à son frontispice brésilien des références géographiques. Cependant, au-delà de ce « régionalisme » de façade se développe une quête philosophique d’ordre universel relevant de deux grandes traditions spirituelles : la tradition hermético-alchimique occidentale et la tra...

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