Préface

Résumé 0

Elle n’a que « le tort d’être une femme », disait Camille Saint-Saëns à propos de Clémence de Grandval, dont il estimait que les excellentes mélodies n’avaient pas l’écho qu’elles méritaient. Parce qu’elle est « langage des dieux », sommet dans la hiérarchie des arts, la musique a été une frontière difficile à franchir pour les femmes, cantonnées au rôle d’auditrices, au mieux d’exécutantes, privées plus que publiques. La domination masculine s’est révélée spécialement étouffante, notamment d...

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