Entrée en matière

Résumé 0

Se fondant sur l’idée que l’eau est l’élément naturel le plus sollicité dans la comédie musicale et le plus à même de décliner la notion de contenu et de contenant, de vide et de plein, de versement et de déversement, Tsaï Ming-Liang explore une nouvelle fois, dans La Saveur de la pastèque, deux de ses figures cinématographiques de prédilection : le remplissage et le suintement. La quête des deux personnages principaux du film y renvoie bien entendu sous une forme plus ou moins extrême : cell...

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