26 août 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Thierry Roger, « Chapitre 4. Le pur et l’impur », Presses universitaires de Rouen et du Havre, ID : 10.4000/books.purh.14575
L’ascèse poétique : « maître-philosophe cynique » S’il est une figure identificatoire qui domine dans Les Amours jaunes en imposant toute une vision de l’existence, c’est bien celle du philosophe grec Diogène de Sinope, nommé explicitement dans un texte non recueilli, « Paris nocturne » (A, p. 257), qui offre un complément à la fois burlesque et frénétique aux « Tableaux parisiens » des Fleurs du mal : C’est le Styx asséché : le chiffonnier Diogène, La lanterne à la main, s’en vient avec sans...