Chapitre 4. « Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée »

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28 août 2018

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Myriam Dufour-Maître, « Chapitre 4. « Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée » », Presses universitaires de Rouen et du Havre, ID : 10.4000/books.purh.3111


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Dans l’espace restreint de la scène, secondé par le jeu frontal, la diction emphatique et la gestuelle codifiée que devaient adopter les comédiens, le discours de la tragédie classique tâche de faire voir ce qui ne peut être montré, c’est-à-dire presque tout : non seulement ce qui est rejeté hors scène par les bienséances, mais en scène même les mouvements que les passions arrachent aux corps. Art de l’invisible autant que theatron, le théâtre du XVIIe siècle sollicite donc puissamment l’imag...

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