4 octobre 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Pierre Ardaillou, « Conclusion », Presses universitaires de Rouen et du Havre, ID : 10.4000/books.purh.7881
Majoritaires au Havre dès 1865, les républicains semblaient plus forts que jamais fin 1889, quand s'éteignirent les lumières des fêtes du centenaire de la Révolution. Depuis les débuts de la Troisième République, ils avaient remporté toutes les élections, ne laissant aucun siège aux conservateurs. Majoritairement opportunistes, ils avaient su faire une petite place aux radicaux au conseil général ou d'arrondissement comme à la mairie, ce qui avait évité tout affrontement trop marqué. Il faudr...