26 septembre 2018
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Joseph-Marc Bailbe, « La Valse triste de Sibélius, une élégie sentimentale », Presses universitaires de Rouen et du Havre, ID : 10.4000/books.purh.8166
L’homme ne voulait plus qu’entendre ettransmettre la gloire de son rêve, les yeux closLa Varende Dans une lettre à Pierre Langlois, La Varende écrit, le 30 juin 1956, à propos de la Valse triste : C’est une chose spéciale et traitée sans grande équivalence dans mon œuvre. Vous allez de plus en plus apprécier ces sentiments d’une telle hauteur, et dont la fin absurde et magnifique couronne le mouvement et la pureté. J’ai mis énormément dans ce livre et sans en avoir tiré grand chose ; on sembl...