19 septembre 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Xavier du Crest, « II. Peinture de cour et cours de peinture », Presses universitaires de Strasbourg, ID : 10.4000/books.pus.13594
Au Salon de 1869, en appelant ses lecteurs à plaindre le peintre français François-Germain-Léopold Tabar (1818-1869), mort prématurément et récemment, le critique d’art Jules-Antoine Castagnary se souvient de son voyage en Turquie : Ce portrait équestre du sultan, si juste et si simple, que vous apercevez là-bas, il est de Tabar, un des peintres les plus méritants et les moins fortunés qu’il y eut jamais. Quelle existence ! les épreuves ne lui ont pas fait défaut. Ces dernières années, il com...