« Je fus sauvé par gourmandise » ou le rôle de la faim dans la fin du symbolisme gidien

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7 mars 2019

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Stéphanie Bertrand, « « Je fus sauvé par gourmandise » ou le rôle de la faim dans la fin du symbolisme gidien », Presses universitaires de Strasbourg, ID : 10.4000/books.pus.2900


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Connu comme l’auteur des Nourritures terrestres, parues en 1897, puis des Nouvelles Nourritures, publiées en 1935, comme l’un des préfaciers de Faim de Knut Hamsun (pour l’édition de 1926), Gide semble nous inviter à penser que son lien, littéraire, avec la nourriture, va de soi. Et pourtant, c’est précisément par son absence que l’écrivain va définir sa première période d’écriture. Le narrateur de Si le grain ne meurt constate en effet : Pour chacun de mes compagnons il en allait à peu près ...

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