26 février 2019
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Fortunée Briquet, « A Mademoiselle Élise A.... », Presses universitaires de Strasbourg, ID : 10.4000/books.pus.4166
Niort, le I.er germinal, an II. Que faites-vous, chère Élise ? A dix-huit ans, avec des richesses et de la beauté, vous cultivez les lettres ! Trois années n’ont point encore épuisé votre constance ! Au contraire, à vous entendre, l’étude offre sans cesse de nouveaux charmes, et procure de nouveaux plaisirs : Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres,Et fait des jours sereins de mes jours les plus sombres.RACINE. Si je vous représente que certaines gens attachent du ridicule au savoir da...