13 mars 2018
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/openAccess
Benjamin Lavergne, « Conclusion de la seconde partie », Presses de l’Université Toulouse 1 Capitole, ID : 10.4000/books.putc.1885
La réception de la technique par l’ordre juridique demeure, ce n’est pas une surprise, largement incomplète. Avancer qu’elle est totale aurait en effet conduit à démontrer que la soft law n’est pas autre chose qu’une norme juridique. Nous avons vu cependant que la technique recommandatoire était pour partie prise en considération par le juge. Le contrôle de ses effets a ainsi conduit le Conseil d’État à admettre de contrôler la publication d’une recommandation et à reconnaître l’existence d’u...