19 avril 2021
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Emna Mrabet, « L’Institut français de Tunisie : un acteur du renouveau cinématographique », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.104150
Le cinéma tunisien a connu un âge d’or dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix avec des titres comme Halfaouine, L’enfant des terrasses (Férid Boughedir, 1990), Les silences du palais (Moufida Tlatli, 1994), ou encore les films réalisés par Nouri Bouzid : L’homme de cendres (1986), Les sabots en or (1988), Bezness (1991). Après une grande phase de stagnation, le cinéma en Tunisie rencontre aujourd’hui un nouvel essor. La phase postrévolutionnaire connaît un foisonnement artistique qu...