2. « Je crains la rougeole, la petite vérole. Je crains tout en un mot » : une famille face à la vaccination (fin du xviiie-début du xixe siècle)

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18 octobre 2021

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Scarlett Beauvalet, « 2. « Je crains la rougeole, la petite vérole. Je crains tout en un mot » : une famille face à la vaccination (fin du xviiie-début du xixe siècle) », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.126277


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Le principe de l’inoculation, puis de la vaccination pour prémunir les enfants contre la variole a mis du temps à être accepté par les familles. Alors que l’État s’engage dans une politique active pour promouvoir la pratique, multipliant les incitations et les récompenses et que les médecins entreprennent de véritables campagnes de vaccination, beaucoup de familles résistent. Au début du xixe siècle, la très riche correspondance de deux familles, les d’Estourmel et les Beauclerc, offre un témoignage précieux sur les réticences des parents et leur crainte de s’opposer à la providence divine.

Families have been slow to accept inoculation, and then vaccination, to protect children from smallpox. While the state was actively promoting the practice through policies, consistently increasing incentives and rewards, and while doctors were undertaking vaccination campaigns, many families were reluctant. Dating from the beginning of the 19th century, the very valuable correspondence of two families, the d’Estourmel and the Beauclerc, is a crucial testimony to the reluctance of parents and their fear of opposing divine will.

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