28 juin 2017
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Jutta Fortin, « 4. La part morte de soi », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.12664
« Il fait tout noir au fond des abîmes. Mais je ne veux pas fermer les yeux. J’écris pour voir. Car la leçon des ténèbres, c’est la lumière. » (Ph, 74), écrit Camille Laurens dans Philippe. Selon elle, seul l’effort impliqué dans l’exercice de l’écriture lui a permis de survivre après la disparition de son bébé. En effet, Philippe est aussi une réflexion sur la médecine. La reprise exacte (et peut-être mécanique) de ce qui est arrivé le jour de l’accouchement, y compris la lecture du dossier ...