2 décembre 2021
https://www.openedition.org/12554 , info:eu-repo/semantics/restrictedAccess
Deborah Steiner, « 2. Enargeia avec la lettre : l’alphabet spectaculaire en Grèce archaïque », Presses universitaires du Septentrion, ID : 10.4000/books.septentrion.126945
Le chant IV de l’Iliade s’achève alors que la première bataille, combat paradigmatique du poème, dont le chant a suivi les revirements, continue de faire rage sur la plaine troyenne (539-44) : Ἔνθά κεν οὐκέτι ἔργον ἀνὴρ ὀνόσαιτο µετελθών, ὅς τις ἔτ’ ἄβλητος καὶ ἀνούτατος ὀξέϊ χαλκῷ δινεύοι κατὰ µέσσον, ἄγοι δέ ἑ Παλλὰς Ἀθήνη χειρὸς ἑλοῦσ’, αὐτὰρ βελέων ἀπερύκοι ἐρωήν· πολλοὶ γὰρ Τρώων καὶ Ἀχαιῶν ἤµατι κείνῳ πρηνέες ἐν κονίῃσι παρ’ ἀλλήλοισι τέταντο. Là, un homme qui serait allé à travers l’œu...